La "course au bonheur"

En courant pour m'enfuir, je suis tombée sur ce parc. Un magnifique parc.

Mais rempli d'humains.

Je les déteste. Tous. À ce instant, un humain d'environs 12 ans s'approche vers moi. Il est accompagné de toute une bande.
- Tiens donc, me dit l'humain en souriant méchamment. Un monstre aux yeux rouges ! T'es couverte de cicatrice, et... t'as vu tes fringues ?!
Là-dessus, il éclate de rire, et toute sa bande fait de même.

Une fois que le groupe s'est calmé, je me mets calmement en colère :
- Qu'il y a t-il après la mort ? ai-je calmement demandé.
- Va te faire voir, Miss Frankenstein ! me lance l'humain en ricanant.
- Tu ne sais pas ? ai-je demandé.
- Qui le sait ?
- Tu veux que je te le montre ? ai-je gentiment proposé.

L'humain secoue la tête.
- Porte nawak ! crie-t-il. Quelle conne !
ça en est trop. Je dois réagir.

Un de mes 16 vecteur se déploie et transperce l'humain.

Son sang gicle.

La bande hurle et s'enfuie en courant.

L'humain que j'ai tué à le regard vitreux et le corps éclaboussé de sang.

- Tu es mort, maintenant, l'ai-je informé.

Je retire mon vecteur, et le corps de l'humain s'effondre au sol. Je parts tranquillement.

Autour de moi, les autres humains hurlent, s'affolent. Que c'est agaçant quand on a un mal de crâne !

Je n'en peu plus. Je veux être replongée dans un silence éternelle.

Alors je les tue. Tous. Chacun leur tour.

Une fois que tous les humains sont morts, le parc n'est plus qu'un bain de sang. Mais quelle importance ?

Ces humains l'ont cherché. Je m'en vais alors, pour trouver un endroit plus propre : celui-ci est souillé par le sang d'humains.